Quand il est trop tard
Refermant les yeux dans leurs orbites obscures,
Les lueurs évanescentes s’agrègent sur
La toile des paupières froissées ; détachées
Et évanouissantes clartés arrachées.
En un moment il n’y reste plus rien, voyant
Sans espoir du lendemain, n’a plus que l’élan
De poser ses mains sèches sous son front penché,
Les appuyant aux creux des flammes panachées.
Le regard pressé par ses paumes étendues,
Il allume la cendre, attise les regrets ;
Vision qui réverbère un esprit éperdu,
Désillusion d’une vie déjà à l’arrêt.
Au dehors s’est échappé le sens des splendeurs,
Demeurent les éclats internes de ses pleurs.
Les lueurs évanescentes s’agrègent sur
La toile des paupières froissées ; détachées
Et évanouissantes clartés arrachées.
En un moment il n’y reste plus rien, voyant
Sans espoir du lendemain, n’a plus que l’élan
De poser ses mains sèches sous son front penché,
Les appuyant aux creux des flammes panachées.
Le regard pressé par ses paumes étendues,
Il allume la cendre, attise les regrets ;
Vision qui réverbère un esprit éperdu,
Désillusion d’une vie déjà à l’arrêt.
Au dehors s’est échappé le sens des splendeurs,
Demeurent les éclats internes de ses pleurs.
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